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Cher lecteur, si tu es comme moi, tu as probablement déjà rédigé plusieurs lettres de motivation dans ta vie. Ce long moment où tu te retrouves à essayer de te vendre comme un produit parfait, sans failles, digne d’un superhéros. Mais soyons honnêtes, au fond, tout ce que tu veux vraiment c’est le job. Et parfois, tu te surprends à vouloir glisser un petit « pitié » dans ton texte. C’est une pensée que nous avons tous eue, alors pourquoi ne pas l’assumer ? Allez, rions un peu avec ces lettres de motivation qui, au lieu de tourner autour du pot, disent les choses clairement… et désespérément !
Lettre de motivation – Pitié, je veux ce job
Madame, Monsieur,
Pitié, donnez-moi une chance. Je sais que je n’ai pas exactement les qualifications requises, ni l’expérience, et je n’ai jamais fait ce travail avant… Mais je vous en prie, regardez l’effort que j’ai mis dans cette lettre ! Qui d’autre vous enverrait un CV avec autant d’espoir que moi ?
Je suis prêt(e) à apprendre. Prêt(e) à me lever avant le réveil, et même à faire des cafés si nécessaire. Sérieusement, je vous promets de devenir l’employé(e) de l’année (d’ici trois ans, mais quand même).
Alors s’il vous plaît, pitié, embauchez-moi. Mon chat a déjà commencé à écrire des lettres de motivation pour moi, et croyez-moi, ses arguments sont bien pires.
Cordialement,
Un(e) candidat(e) désespéré(e).
Lettre de motivation – Pitié, je n’en peux plus
Madame, Monsieur,
Pitié… vous êtes ma dernière chance. Après 49 candidatures, 18 entretiens, et 4 pots de glace pour consoler mon moral, je vous en conjure, donnez-moi ce job. Ma motivation est au-delà des mots… elle frôle l’obsession.
Chaque lettre que j’écris me rapproche un peu plus de la folie douce. Alors, avant que je commence à inclure des photos de moi pleurant devant mon ordinateur, sauvez une âme en détresse : embauchez-moi.
Cordialement (mais désespérément),
Le(la) candidat(e) fatigué(e) mais toujours déterminé(e).
Lettre de motivation – Pitié, vous n’allez pas le regretter
Cher employeur potentiel,
Je sais que je suis censé(e) vous parler de mes compétences, de mon expérience, et de mes qualités. Mais soyons francs : il y a des dizaines de candidats qui ont probablement mieux vendu leur profil que moi. Alors, je vais miser sur la sincérité.
Pitié, choisissez-moi. Non seulement je travaille dur, mais j’ai aussi un excellent sens de l’humour (comme en témoigne cette lettre). Je promets de ne pas vous décevoir et de transformer chaque jour au bureau en un moment inoubliable (mais pas trop non plus, hein, on est là pour travailler quand même !).
Avec toute ma sincérité et un soupçon de désespoir,
Le(la) candidat(e) qui ne laissera jamais tomber.
Voilà, des lettres de motivation avec une petite touche d’humour et, bien sûr, ce petit mot magique… « pitié » ! Qui sait, peut-être que la sincérité désespérée finira par toucher un recruteur ?