Sommaire
Poème d’amour perdu
Poème d’amour perdu 1
A jamais je ne resterais qu’un étranger
Sans jamais avoir fissuré
Ce mur que tu as érigé.
Je te vois là, dans ta forteresse
Muré dans cette prison de tristesse
Rassuré et en détresse
Dans ce lieu de solitude, le regard lointain
Et mourant malgré l’étincelle
J’ai perdu l’espoir de te rendre éternelle
Sans jamais avoir fissuré
Ce mur que tu as érigé.
Je te vois là, dans ta forteresse
Muré dans cette prison de tristesse
Rassuré et en détresse
Dans ce lieu de solitude, le regard lointain
Et mourant malgré l’étincelle
J’ai perdu l’espoir de te rendre éternelle
Poème d’amour perdu 2
J’ai rêvé que tu m’aimais encore
Dans mes cries, dans mon corps
J’y ai cru un peu trop fort
Pourtant l’espoir est bien mort
De te revoir lorsqu’arrive l’aurore
Ce cauchemar m’habite encore
Il me brûle, me dévore
Dans mes cries, dans mon corps
Un rêve doux, un trésor
A l’image de la boite de Pandore
Dans mes cries, dans mon corps
La rage pénètre un peu plus fort
Sans peine, ni remords
Toujours un peu plus loin, un peu plus fort
Puis doucement s’évapore…
Dans mes cries, dans mon corps
J’y ai cru un peu trop fort
Pourtant l’espoir est bien mort
De te revoir lorsqu’arrive l’aurore
Ce cauchemar m’habite encore
Il me brûle, me dévore
Dans mes cries, dans mon corps
Un rêve doux, un trésor
A l’image de la boite de Pandore
Dans mes cries, dans mon corps
La rage pénètre un peu plus fort
Sans peine, ni remords
Toujours un peu plus loin, un peu plus fort
Puis doucement s’évapore…
Poème d’amour perdu 3
Mon amour pour toi infini
Mon amour pour toi infini
J’ai fait une erreur
Je t’ai menti
La conséquence est une horreur
J’ai fait couler des larmes
Sur un visage d’ange
Je t’ai donné les armes
Tes sentiments changent
Il ne faut plus que tu m’aimes
Tu dois pouvoir te passer de moi
Mais je te répète toujours le même :
« Je ne suis rien sans toi ».
Une veine taillée, un nom marqué
La douleur, le sang qui coule
Mais ce n’est rien comparé à ce que je t’ai fait
Un coup de poignard à chaque larme qui roule
Mon amour pour toi infini
J’ai fait une erreur
Je t’ai menti
La conséquence est une horreur
J’ai fait couler des larmes
Sur un visage d’ange
Je t’ai donné les armes
Tes sentiments changent
Il ne faut plus que tu m’aimes
Tu dois pouvoir te passer de moi
Mais je te répète toujours le même :
« Je ne suis rien sans toi ».
Une veine taillée, un nom marqué
La douleur, le sang qui coule
Mais ce n’est rien comparé à ce que je t’ai fait
Un coup de poignard à chaque larme qui roule
Poème d’amour perdu 4
Je t’ai perdu, mon amour…
Ce matin, je ne te trouve plus, dans mon cœur, où es tu mon amour.
Je suis si seul sans toi, mon cœur est vide, mon coeur a mal.
Ce matin, je suis triste, j’ai envie de mourir.
Je ne veux pas vivre sans toi, j’ai
trop froid, j’ai trop mal de toi.
Ce matin ma vie s’arrête, je suis mort déjà.
Mon cœur, saigne, il a très, mal, ça y est il s’arrête de battre.
Mon cœur saigne, il a très mal, je ne peux vivre sans toi.
Ce matin, je ne te trouve plus, dans mon cœur, où es tu mon amour.
Je suis si seul sans toi, mon cœur est vide, mon coeur a mal.
Ce matin, je suis triste, j’ai envie de mourir.
Je ne veux pas vivre sans toi, j’ai
trop froid, j’ai trop mal de toi.
Ce matin ma vie s’arrête, je suis mort déjà.
Mon cœur, saigne, il a très, mal, ça y est il s’arrête de battre.
Mon cœur saigne, il a très mal, je ne peux vivre sans toi.
Poème d’amour perdu 5
Interdit de t’aimer
Interdit de te caresser
Pour tout le restant de ma vie
Je n’ai plus le droit d’y penser
De l’aube à la nuit
Que je pourrais t’aimer à l’infini
Interdit de t’appeler
Oui de t’appeler mon chéri
Interdit de rêver
Rêver d’amour au grand jour
Toujours et encore
Interdit le désir de ton corps
Interdit de penser au passé
Aux instants forts
Qui nous on réuni
L’instant de baisers tendres
Interdit l’espoir de te revoir
T’aimer et te prendre
Prendre dans les bras
Te serrer fort tout contre moi
Interdit d’être ton étoile
Qui éclaire tes nuits
Interdit d’être ton soleil
Qui réchaufferait ta vie
Interdit de te chanter les plus belles mélodies
Les mots d’amour de les siffler aussi
Aux creux de ton oreille
Interdit de te charmer
De te lancer mes yeux doux
De déposer des baisers dans le cou
Interdit d’avoir des fantasmes, des songes
Même si cet amour me ronge
Il aimerait s’évader de moi
Et aller vers toi
Interdit de le faire exploser
Comme un feu d’artifice ensoleillé
Interdit dans mon coeur l’illusion
La lueur de ma passion
Pour toi que j’aime que j’adore
Qui vaut bien plus que de l’or
Interdit à mon âme
De verser des larmes
Lorsque le chagrin
Envahi mon esprit
Du soir au matin
Tous ces interdits j’aimerais les braver
Les gravir, les bafouer
Ne pas les exécuter
Mais ce sont des interdits
Seul m’est autorisé par mon ami
A l’aimer d’amitié
Au plus haut degré
Te donner joie et bonheur
Dans toute sa splendeur
Je t’offre le plus beau mon coeur
Mais c’est vrai c’est interdit
Alors prend ce que je t’offre actuellement
Ce qui a de plus magique
Ce qui est tout aussi magnifique
L’amitié rien que l’amitié
Pure et blanche immaculée
Pour le restant, pour l’éternité
Interdit de te caresser
Pour tout le restant de ma vie
Je n’ai plus le droit d’y penser
De l’aube à la nuit
Que je pourrais t’aimer à l’infini
Interdit de t’appeler
Oui de t’appeler mon chéri
Interdit de rêver
Rêver d’amour au grand jour
Toujours et encore
Interdit le désir de ton corps
Interdit de penser au passé
Aux instants forts
Qui nous on réuni
L’instant de baisers tendres
Interdit l’espoir de te revoir
T’aimer et te prendre
Prendre dans les bras
Te serrer fort tout contre moi
Interdit d’être ton étoile
Qui éclaire tes nuits
Interdit d’être ton soleil
Qui réchaufferait ta vie
Interdit de te chanter les plus belles mélodies
Les mots d’amour de les siffler aussi
Aux creux de ton oreille
Interdit de te charmer
De te lancer mes yeux doux
De déposer des baisers dans le cou
Interdit d’avoir des fantasmes, des songes
Même si cet amour me ronge
Il aimerait s’évader de moi
Et aller vers toi
Interdit de le faire exploser
Comme un feu d’artifice ensoleillé
Interdit dans mon coeur l’illusion
La lueur de ma passion
Pour toi que j’aime que j’adore
Qui vaut bien plus que de l’or
Interdit à mon âme
De verser des larmes
Lorsque le chagrin
Envahi mon esprit
Du soir au matin
Tous ces interdits j’aimerais les braver
Les gravir, les bafouer
Ne pas les exécuter
Mais ce sont des interdits
Seul m’est autorisé par mon ami
A l’aimer d’amitié
Au plus haut degré
Te donner joie et bonheur
Dans toute sa splendeur
Je t’offre le plus beau mon coeur
Mais c’est vrai c’est interdit
Alors prend ce que je t’offre actuellement
Ce qui a de plus magique
Ce qui est tout aussi magnifique
L’amitié rien que l’amitié
Pure et blanche immaculée
Pour le restant, pour l’éternité
Poème d’amour perdu 6
toute ma vie je me rappellerai
Le soir où nous nous sommes rencontrés.
Cette belle et froide nuit d’hiver,
Je m’en souviens comme si c’était hier.
Depuis lors, c’est au fond de tes yeux
Que je me suis senti le mieux.
Aussi beau soit-il, aucun paysage
Ne pouvait rivaliser avec ton doux visage.
Aucune montagne ni aucune mer
Face à toi n’auraient pu faire les fières.
Rappelle toi de notre « nous »,
De ce feu dont les autres étaient si jaloux,
De nos étreintes, douces et passionnées
Qui, telle une flamme, nous consumaient.
Nous avons trouvé notre bonheur
Enveloppés de sa douce chaleur,
Nous suivions alors un chemin inconnu.
Pour ce faire nous nous sommes mis à nu.
Me dévoilant chaque jour ta beauté
Que seul un sot ne saurait apprécier.
Ho oui jamais je n’oublierai
Le souvenir de nos vies enlacées.
Le jour maudit où tu es partie,
Tous mes espoirs m’ont été ravis.
Nos coeurs, battant à l’unisson,
N’étaient désormais plus compagnons.
Le fameux soir où tout s’est fini
N’a été que le début d’une lente agonie.
Qu’importe-les raisons données
Aucun mot n’aurait pu me rassurer.
Le soleil, autrefois si bienveillant,
Me paraît bien inutile maintenant.
Ce soleil, je pouvais l’apercevoir
Même au sein de la nuit noire.
Ta tendre présence près de moi
Illuminait ma vie d’une douce joie.
Aujourd’hui, mon sourire s’est effacé.
Un visage de cire l’a remplacé.
Le souvenir de notre amour merveilleux,
Je l’ai vu s’éteindre dans mes cieux.
Le bel avenir que nous nous étions promis
N’est désormais plus qu’une pâle utopie.
Mais ne crois pas que mon coeur
A jamais t’a gardé rancoeur.
Aimer est un risque à courir
Et pour toi j’étais prêt à souffrir.
Nos vies ont eu des destins séparés.
Ne les blâmons pas, nous n’étions pas prêts
A maintenir plus longtemps cette flamme
Alors que tant de tourments habitaient nos âmes.
Aujourd’hui je trouve la force en moi
De te l’écrire par ces vers maladroits.
Et puisque je ne suis plus là
Je te laisse suivre ta voie.
Qu’un autre phare te guide
Vers des terres moins arides.
Là où je n’ai su t’accompagner
Et dont maintenant je n’ose rêver.
Que ce bonheur auquel tu aspires
Te soit accordé pour le plus bel avenir.
Que je sois avec toi ou ailleurs
Je ne peux que te souhaiter le meilleur.
Y-a-t-il autre façon de penser
Au sujet d’une femme tant aimée?
A mon tendre Amour perdu,
Pardonne-moi mes erreurs.Souviens-toi de notre Coeur
Et de notre tendresse disparue.
Peu importe ce que réservent nos futurs,
Ce que tous cherchent avec ferveur,
Nous avons eu la chance d’avoir notre heure.
Merci mon ange, merci pour toujours.
Le soir où nous nous sommes rencontrés.
Cette belle et froide nuit d’hiver,
Je m’en souviens comme si c’était hier.
Depuis lors, c’est au fond de tes yeux
Que je me suis senti le mieux.
Aussi beau soit-il, aucun paysage
Ne pouvait rivaliser avec ton doux visage.
Aucune montagne ni aucune mer
Face à toi n’auraient pu faire les fières.
Rappelle toi de notre « nous »,
De ce feu dont les autres étaient si jaloux,
De nos étreintes, douces et passionnées
Qui, telle une flamme, nous consumaient.
Nous avons trouvé notre bonheur
Enveloppés de sa douce chaleur,
Nous suivions alors un chemin inconnu.
Pour ce faire nous nous sommes mis à nu.
Me dévoilant chaque jour ta beauté
Que seul un sot ne saurait apprécier.
Ho oui jamais je n’oublierai
Le souvenir de nos vies enlacées.
Le jour maudit où tu es partie,
Tous mes espoirs m’ont été ravis.
Nos coeurs, battant à l’unisson,
N’étaient désormais plus compagnons.
Le fameux soir où tout s’est fini
N’a été que le début d’une lente agonie.
Qu’importe-les raisons données
Aucun mot n’aurait pu me rassurer.
Le soleil, autrefois si bienveillant,
Me paraît bien inutile maintenant.
Ce soleil, je pouvais l’apercevoir
Même au sein de la nuit noire.
Ta tendre présence près de moi
Illuminait ma vie d’une douce joie.
Aujourd’hui, mon sourire s’est effacé.
Un visage de cire l’a remplacé.
Le souvenir de notre amour merveilleux,
Je l’ai vu s’éteindre dans mes cieux.
Le bel avenir que nous nous étions promis
N’est désormais plus qu’une pâle utopie.
Mais ne crois pas que mon coeur
A jamais t’a gardé rancoeur.
Aimer est un risque à courir
Et pour toi j’étais prêt à souffrir.
Nos vies ont eu des destins séparés.
Ne les blâmons pas, nous n’étions pas prêts
A maintenir plus longtemps cette flamme
Alors que tant de tourments habitaient nos âmes.
Aujourd’hui je trouve la force en moi
De te l’écrire par ces vers maladroits.
Et puisque je ne suis plus là
Je te laisse suivre ta voie.
Qu’un autre phare te guide
Vers des terres moins arides.
Là où je n’ai su t’accompagner
Et dont maintenant je n’ose rêver.
Que ce bonheur auquel tu aspires
Te soit accordé pour le plus bel avenir.
Que je sois avec toi ou ailleurs
Je ne peux que te souhaiter le meilleur.
Y-a-t-il autre façon de penser
Au sujet d’une femme tant aimée?
A mon tendre Amour perdu,
Pardonne-moi mes erreurs.Souviens-toi de notre Coeur
Et de notre tendresse disparue.
Peu importe ce que réservent nos futurs,
Ce que tous cherchent avec ferveur,
Nous avons eu la chance d’avoir notre heure.
Merci mon ange, merci pour toujours.
Poème d’amour perdu 7
Je me souviens encore de ses mains
De son parfum
Je me souviens de tout ce qu’il m’a dit
De ce qu’il m’a écrit
Je me souviens de tout, le problème est là
Avec des souvenirs comme ça, je l’oublie pas!
De son parfum
Je me souviens de tout ce qu’il m’a dit
De ce qu’il m’a écrit
Je me souviens de tout, le problème est là
Avec des souvenirs comme ça, je l’oublie pas!
Poème d’amour perdu 8
Comment te dire ce que j’ai sur le coeur?
Comment te faire savoir combien je t’en veux?
J’aurais tellement aimer que ce soit une erreur,
J’aurais tellement voulu te rendre heureux.
Comment as-tu pu me faire autant souffrir?
Moi qui m’étais promise de t’aimer toujours,
Comment as-tu pu m’enlever le sourire?
Toi qui disais m’aimer un peu plus chaque jour.
Pourquoi m’avoir caché ce que tu ressentais?
Pourquoi avoir choisi de te jouer de moi?
Cela faisait si longtemps que l’on s’aimaient,
Mais tu me laisse seule, désarmée et anéantie derrière toi.
Je voyais ce jour arriver depuis longtemps,
Mais, de peur de le regretter, je ne t’ai pas quitté.
Pourtant je sais que depuis quelques temps tu me mens,
Seulement,mon amour pour toi n’a pu cesser de s’intensifier.
Je voyais notre amour petit à petit se fâner,
Je te voyais peu à peu de moi t’éloigner,
Et pourtant pour te retenir, je n’ai rien fait,
Car je ne pouvais t’empêcher de ne plus m’aimer.
J’aurais voulu que tu ais le courage de me le dire,
J’aurais aimé le savoir dès que tu l’as su,
Mais tu as préféré me laisser souffrir,
Et face à ton égoïsme, je me suis tu.
Je ne suis peut-être pas toujours facile à vivre
Mais j’ai tout accepté pour te garder.
A présent il me faut tourner la page pour survivre,
Je dois cesser de t’aimer et t’oublier.
Crois moi ce n’est pas si facile,
Tu ne le vois peut-être pas mais j’ai mal
Mal de te voir partir insensible
Alors que moi, j’éprouve un désarroi fatal.
Tu m’as poignardé dans le dos,
Tu as laissé mon coeur saigner,
Mais je suis tombée de bien trop haut
Pour pouvoir maintenant me relever.
Tu m’as rendu insensible à toute autre souffrance
Devant toi, je reste ébahie et en colère
Tu m’as fait sortir de ma tendre enfance,
Alors que j’avais accepté la souffrance pour te satisfaire.
Jamais je ne te pardonnerais le mal que tu m’as fait,
Je ne veux plus te voir, je veux te faire tomber sans pitié
Comme tu m’as fait tomber sans même te retourner,
Car c’est le seul moyen pour que je puisse enfin me relever.
Tu as osé me pousser du haut d’une falaise,
Tu as osé me dire « je t’aime » tout en sachant que c’était fini,
Face à tout cela pourtant tu n’éprouves aucun malaise,
Alors que tu m’as laissé espérer et m’as menti.
Aujourd’hui je sais que l’amour c’est comme la foudre, il laisse les vêtements intacts mais le coeur en cendre.
Envers toi je n’ai que peu d’indulgence,
car ce que tu m’as fait subir n’est que souffrance;
J’ai choisi de ne plus jamais me retourner
Tu fait parti de mon passé oublié.
Ne viens pas t’excuser,
Ne viens pas me parler,
Ne dis plus le mot « aimer »,
Ne me demande pas l’amitié.
Je suis si fatiguée
De ce combat acharné
Sans cesse, il me reprend
Dans son tumulte tourment
A toujours me défier
A toujours être crispée
Peur de nos rares moments
Devenus si peu amusants
Joies se sont envolées
Les larmes les ont remplacées
Les roses se sont fanées
Leurs épines se sont affinées
Le ciel s’est assombri
Chargé de mélancolie
La tristesse emplit mes yeux
Sur l’absence de tes mots chaleureux.
Comment te faire savoir combien je t’en veux?
J’aurais tellement aimer que ce soit une erreur,
J’aurais tellement voulu te rendre heureux.
Comment as-tu pu me faire autant souffrir?
Moi qui m’étais promise de t’aimer toujours,
Comment as-tu pu m’enlever le sourire?
Toi qui disais m’aimer un peu plus chaque jour.
Pourquoi m’avoir caché ce que tu ressentais?
Pourquoi avoir choisi de te jouer de moi?
Cela faisait si longtemps que l’on s’aimaient,
Mais tu me laisse seule, désarmée et anéantie derrière toi.
Je voyais ce jour arriver depuis longtemps,
Mais, de peur de le regretter, je ne t’ai pas quitté.
Pourtant je sais que depuis quelques temps tu me mens,
Seulement,mon amour pour toi n’a pu cesser de s’intensifier.
Je voyais notre amour petit à petit se fâner,
Je te voyais peu à peu de moi t’éloigner,
Et pourtant pour te retenir, je n’ai rien fait,
Car je ne pouvais t’empêcher de ne plus m’aimer.
J’aurais voulu que tu ais le courage de me le dire,
J’aurais aimé le savoir dès que tu l’as su,
Mais tu as préféré me laisser souffrir,
Et face à ton égoïsme, je me suis tu.
Je ne suis peut-être pas toujours facile à vivre
Mais j’ai tout accepté pour te garder.
A présent il me faut tourner la page pour survivre,
Je dois cesser de t’aimer et t’oublier.
Crois moi ce n’est pas si facile,
Tu ne le vois peut-être pas mais j’ai mal
Mal de te voir partir insensible
Alors que moi, j’éprouve un désarroi fatal.
Tu m’as poignardé dans le dos,
Tu as laissé mon coeur saigner,
Mais je suis tombée de bien trop haut
Pour pouvoir maintenant me relever.
Tu m’as rendu insensible à toute autre souffrance
Devant toi, je reste ébahie et en colère
Tu m’as fait sortir de ma tendre enfance,
Alors que j’avais accepté la souffrance pour te satisfaire.
Jamais je ne te pardonnerais le mal que tu m’as fait,
Je ne veux plus te voir, je veux te faire tomber sans pitié
Comme tu m’as fait tomber sans même te retourner,
Car c’est le seul moyen pour que je puisse enfin me relever.
Tu as osé me pousser du haut d’une falaise,
Tu as osé me dire « je t’aime » tout en sachant que c’était fini,
Face à tout cela pourtant tu n’éprouves aucun malaise,
Alors que tu m’as laissé espérer et m’as menti.
Aujourd’hui je sais que l’amour c’est comme la foudre, il laisse les vêtements intacts mais le coeur en cendre.
Envers toi je n’ai que peu d’indulgence,
car ce que tu m’as fait subir n’est que souffrance;
J’ai choisi de ne plus jamais me retourner
Tu fait parti de mon passé oublié.
Ne viens pas t’excuser,
Ne viens pas me parler,
Ne dis plus le mot « aimer »,
Ne me demande pas l’amitié.
Je suis si fatiguée
De ce combat acharné
Sans cesse, il me reprend
Dans son tumulte tourment
A toujours me défier
A toujours être crispée
Peur de nos rares moments
Devenus si peu amusants
Joies se sont envolées
Les larmes les ont remplacées
Les roses se sont fanées
Leurs épines se sont affinées
Le ciel s’est assombri
Chargé de mélancolie
La tristesse emplit mes yeux
Sur l’absence de tes mots chaleureux.
Poème d’amour perdu 9
Je me souviens jour après jour
De ces belles heures d’amour,
Tu m’as appris ce qu’était la confiance
Et aujourd’hui j’ai besoin de ta présence.
Malheureusement tu n’es plus là,
Et ça me fait mal car je ne te vois pas.
Souvent tu m’as fais rire
Mais aujourd’hui il ne reste que des souvenirs.
Tous ces souvenirs ne te remplacent pas,
Moi, j’aimais quand tu me prenais dans tes bras,
J’aimais aussi sentir la chaleur de tes lèvres
Quand elles se posaient sur moi.
J’ai réellement besoin de toi,
Je t’aime
De ces belles heures d’amour,
Tu m’as appris ce qu’était la confiance
Et aujourd’hui j’ai besoin de ta présence.
Malheureusement tu n’es plus là,
Et ça me fait mal car je ne te vois pas.
Souvent tu m’as fais rire
Mais aujourd’hui il ne reste que des souvenirs.
Tous ces souvenirs ne te remplacent pas,
Moi, j’aimais quand tu me prenais dans tes bras,
J’aimais aussi sentir la chaleur de tes lèvres
Quand elles se posaient sur moi.
J’ai réellement besoin de toi,
Je t’aime
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Je mes sens fort en voyant ces belles plumes ! J’ai envie des mettre aussi ma plume là dedans , j’encourage mes chers frères qui ont consomées leurs temps en écrivans ces poèmes .